Page 23 - Rapport d'activités 2014

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AAHJ – Rapport d’Activité 2014
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L’accès à un logement dans le parc privé (2 personnes) :
Situation 1 :
Connu des différents service sociaux depuis plus de 10 ans, ne parvenant pas à
entreprendre des démarches de manière autonome et présentant une dépendance à la
buprénorphine qu’il s’injectait, c’est après un important travail d’accès aux soins et de réduction
des risques que nous avons opté pour la recherche d’un logement dans le parc privé (durée
d’hébergement : 844 journées).
Situation 2 :
Jeune homme de 19 ans arrivé d’Algérie depuis quelques mois, ce dernier s’est
montré particulièrement actif pour trouver un emploi alors même qu’il ne parlait pratiquement
pas le français. Le délai d’attente pour accéder à un foyer du jeune travailleur s’avérant long,
nous avons opté pour un accès en logement privé. Après quelques mois de recherche, une
proposition a pu lui être faite (durée d’hébergement : 462 journées).
L’accès à un logement dans le parc social (1 personne) :
Situation :
Titulaire d’un titre de séjour précaire mais en situation d’emploi, cette personne a pu
accéder à un appartement autonome au cours de l’année (durée d’hébergement : 560 journées).
L’accès à un appartement de coordination thérapeutique (1 personne) :
Situation :
Bénéficiaire d’un titre de séjour précaire, sans ressources, et porteuse de deux
pathologies nécessitant un traitement journalier, cette personne a pu intégrer un ACT suite à une
demande qui avait été faite environ 1 an auparavant (durée d’hébergement : 570 journées).
L’accès au dispositif Repaire (1 personne) :
Situation :
Dans le déni de sa pathologie psychiatrique et refusant toute démarche de soins, cette
personne d’une soixantaine d’années a, petit à petit, rejeté toute forme d’accompagnement social
et cessé de payer son hébergement. Sur proposition de l’AAHJ et en accord avec le SIAO, elle a
été orientée vers le dispositif Repaire (durée d’hébergement : 1279 journées).
L’arrêt d’hébergement (1 personne) :
Situation :
L’association a été contrainte de mettre fin à l’hébergement de cette personne, dans le
déni d’une pathologie relevant de la psychiatrie et présentant une dépendance aux jeux, du fait
du non-paiement de son hébergement et de ses multiples passages à l’acte verbaux
(durée
d’hébergement : 572 journées).